Syracuse 70.3

Départ vers Jamesville Beach Park à 4h, arrivée dans le stationnement à 4h30.

Je dors dans l'auto en attendant l'ouverture de la zone de transition.

Je me réveille à 5h: il pleut. Avant de me rendormir, je me dis que s'il pleut encore lorsque je vais me réveiller, je vais laisser faire la course et continuer à dormir dans l'auto car j'ai en tête le demi de Mooseman pendant lequel il pleuvait et où j'étais frigorifiée en vélo.

De nouveau réveillée à 6h, pas vraiment le goût d'y aller, mais je pense à Sylvie qui m'a dit qu'elle penserait à moi durant sa course à Lake Placid. Je me dis, pas le choix, je le fais même s'il pleut!

Merci Sylvie en passant ;-)

Dans la zone de transition, j'étends ma petite serviette, je mets ma T1 (souliers de vélo, et chaussettes) dans un sac de plastique. Je fais la même chose pour ma T2 (souliers de course, casquette et autre paire de chaussettes). Je laisse mon casque en équilibre sur le guidon de mon vélo, à l'intérieur: ma ceinture de course avec mon numéro et mes lunettes soleil.

Je prends mon wetsuit. Arrêt aux toilettes. Je me dirige vers la plage. Je regarde la situation à moitié endormie. Je vois le parcours de nage et je trouve que les bouées sont très loin surtout s'il faut faire deux "loop".

J'enfile mon wetsuit. Je m'approche de l'eau près d'une "casse de bain rouge" - c'était le "casse de bain" pour les 40-44 ans. Je jase un peu avec la dame qui me dit qu'il ne faut faire qu'un tour! Waouh! Je suis vraiment soulagée!

Notre départ n'est pas encore donné que les hommes pros terminent la portion de nage en 25 minutes environ. Ah! J'aimerais nager si vite!

L'eau est vraiment frette, environ 18 celcius.

J'en suis sortie les pieds gelés en 46m 45s

T1 de 7 minutes!!!

Je regarde mon gros orteil gauche c'est plein de sang... je me suis coupée en sortant de l'eau mais ça ne saigne pas trop alors ça va être OK pour continuer.

Finalement, à la dernière minute, je décide de mettre mes bas de compression rose.

Je décide aussi au dernier moment d'enfiler mon coupe-vent sans manche que je cherche dans mon sac de course, que je cherche dans mon sac de tri, que je retrouve finalement dans mon sac de course...

Bref, une trop looooongue transition parce que ce n'est pas évident de mettre des bas de compression quand on ne s'est pas essuyé les pieds et qu'il pleuviote!

La partie de vélo a été sublime. Le trajet était assez challengeant, en faux-plat et en côte jusqu'à la fin avec une petite descente pour les derniers 5km (1100 pieds de dénivelé au total je crois)

En tout cas, certains cyclistes que je recroisaient m'ont surnommée "pink socks" et on rigolait en disant qu'on n'avait pas vu ces côtes-là sur la map!!!

Vers la moitié du parcours, il y avait tellement de brume, de la vraie purée de pois, qu'on ne voyait pas à six pieds! J'étais contente de porter ma veste fluorescente!

Sensation assez bizarre aussi quand on se rend compte qu'on doit monter une côte mais qu'on ne sait pas si elle est haute ou pas!!!

Le paysage était merveilleux (quand on pouvait le voir), très rural avec des vaches, des moutons et des lamas comme cheerleaders!!!

J'ai eu des spasmes au dos entre les 60ème et 70ème km mais tout s'est replacé.

En tout cas, c'est un très beau parcours de vélo. À refaire!!!

T2 de 3 minutes 32 secondes à zigonner pour attacher mes lacets et à me demander si je mets ou non ma casquette!!!

Pour la course à pied, j'ai dû m'arrêter au moins 5 fois aux toilettes...

Mon début a été très lent car j'avais les orteils gelés. Ça a pris environ 4km avant que je les sente de nouveau.

Au 8ème km j'ai commencé à suivre une madame de 62 ans qui avait un bon rythme.

Elle m'a servi de lapin de course jusqu'au 15ème km mais j'ai dû m'arrêter aux toilettes pour la dernière fois. J'ai réussi à la rattrapper au bout de 2km, mais mon lapin m'a lâché! La madame s'est mise à marcher, non mais!!!!

Je me suis trouvé un deuxième lapin qui s'est aussi mis à marcher...

Non mais!!!

J'ai trouvé mon rythme et accéléré au 18ème km.

J'ai commencé à sprinter 500 mètres avant la fin... Encore une fois, ça confirme que je me suis trop économisée en course à pied, mais, je termine sans blessure et je me sens bien.

Donc, temps total: 6:36:17

Nage 46:45

Vélo 3:15:00

Course 2:23:30

Pas pire pour une fille qui ne voulait pas faire cette course, qui a bretté en mettant des bas rose et perdu du temps à attacher ses runnings parce qu'elle n'avait pas posé les lacets élastiques!

Finalement, je me suis bien amusée et j'ai eu droit à plein de compliments à cause de mes bas rose!!!

Ça valait la peine de faire le demi juste pour pouvoir étrenner les bas!!!

La course impromptue de Fayetteville

Après une bonne nuit de sommeil, je me suis levée à 7h avec un torticolis, mais prête pour l'événement majeur du village de Fayetteville.

Un 5k impromptu!

Je me suis dit que ce serait l'équivalent d'un petit entraînement pré-compétition... mais là, je voyais que j'allais bien et que je dépassais beaucoup de madames de mon groupe d'âge!

Un beau parcours qui m'a permis de visiter assez rapidement les belles rues et voir les belles maisons anciennes du coin.

J'ai donc couru un 5.38km(!!!) en 26:52 sur un beau parcours vallonné parce qu'on était plusieurs à suivre le même monsieur qui s'est trompé d'itinéraire!!!

Première dans ma catégorie d'âge (nous étions 8) et deuxième overall femmes si j'enlève le temps du .38 de trop!!!

J'ai reçu un beau t-shirt en coton du Fayetteville Classic qui va me servir de pyjama.

Je suis fière, une belle course pas prévue... mais sûrement pas le plan le plus intelligent pour se préparer à un demi-ironman, ahahaha!

En plus, grâce à moi, l'événement est devenu international car j'étais la seule "étrangère" à participer à cette course!!!

Ça va peut-être devenir un classique pour moi aussi...

La course, à part les indications pour le parcours, était bien organisée et j'ai même eu droit à un bon massage d'après-course gratos donné par le massothérapeute Paul Killian!

Détour pour prendre une douche et ensuite me diriger au Holiday Inn Syracure-Liverpool Airport pour aller chercher mon sac de course.

Au magasin Ironman, je me suis achetée des beaux bas rose de compression pour aller avec mon trisuit de Zoot.

Je ne suis habituellement pas aussi coquette en course, mais là, ça me tentait!

Vers la fin de la journée, j'ai commencé à avoir une migraine carabinée et mon torticolis commençait à être très déplaisant.

Pour la migraine... je me suis dit que c'est peut-être parce que j'avais faim. Je suis allée au Carraba's Italian Grill et j'ai mangé le Tag Pic Pac!!! Des cheveux d'ange, une sauce aux tomates avec de l'ail et des morceaux de poulet. C'était excellent! Je vais y retourner!

Deux Advils et au dodo à 19h. Réveillée un peu vers 20h par les pétarades de la fin d'un feu d'artifices.

Réveillée pour de bon à 21h.

J'ai regardé la tivi jusqu'à 1h. J'ai redormi on & off jusqu'à 3h et j'ai décidé de me lever et déjeuner à 3h30... Arrgh!

Départ pour Syracuse

Fin de saison, un peu écoeurée de faire du vélo, pas assez de "grr" pour vouloir me battre et faire des temps. Stressée pour rien, sur le bord d'être "overtrained".

Je suis partie à reculons, mais j'ai des amies qui m'ont motivées en me disant qu'elles penseraient à moi durant ma course.

J'ai bretté en masse avant de partir de chez moi... cherchant des excuses comme 50% de possibilité de précipitations à Syracuse!!!

J'ai réglé mon GPS pour prendre les petits chemins de campagne car je trouve que c'est beaucoup plus bucolique que l'autoroute!!!

J'ai finalement passé par le village où il y a les éoliennes qu'on voit de loin lorsqu'on pédale autour du Lac Champlain! Euh... j'me souviens plus du nom, mais c'est impressionnant!

Et "only in the States"...

• J'ai dû ralentir sur la route 11 car un fermier faisait traverser ses vaches.
• Encore sur la route 11, une carriole tirée par des chevaux: ce sont des Amish! La prochaine fois, je fais la "Amish Trail", c'est sûr!
• Je suis passée par Philadelphia, Mexico et Calcium!!!

Je suis arrivée à Fayetteville, au Beard Morgan House Bed and Breakfast vers 21h30.

Superbe maison construite en 1830 avec encore toutes ses moulures originales!

J'étais au royaume du collectionneur et des antiquités: le bonheur pour les yeux.

Mary, la propriétaire des lieux, m'a demandé si ça me plairait de participer à une course le lendemain.

Why not?

Je me suis couchée et j'ai dormi du sommeil du juste dans le Seiko room.

Contretemps

Ce midi au Centre Aquatique de Chambly...

Retard pour l'ouverture car il manquait un moniteur de surveillance et il en faut au moins deux pour le bain libre...

Alors que lorsqu'il y a un entraînement supervisé, il peut n'y avoir en avoir qu'un!

Alors, la monitrice nous a écrit un entraînement sur le tableau blanc!!!

J'ai fait quelques longueurs: j'ai encore mal à l'épaule mais je suis quand même prête pour le demi-ironman de Syracuse dans vraiment pas long!!!

Heeeeeeeehaaaaaaaa!

PB!

Oui, oui!

1h29 15 km mais SURTOUT, 56 canards, 3 écureuils, 3 chiens et 3 grands héros sur le bord du canal!!!

5 minutes plus tard... je viens de me relire et je rigole en lisant mon lapsus!!!

héros, hérons...

Bah! Quand ils ont les ailes déployés, ils sont aussi impressionnants que Superman, mais j'ai pas vu souvent des supermen survoler le canal!!!

ProTour de Montréal

Un seul mot: INSPIRANT

Une image vaut mille mots... Imaginez, j'ai pris 140 photos!

Toujours les mêmes!

Pendant que je gagnais ma vie (en travaillant de la maison quand même)... Y'avait Watson qui faisait la sieste! Toujours les mêmes...

Petite pause d'entraînement pour moi aujourd'hui finalement... Un coup de barre en fin de journée: j'écoute mon corps.

Ça paraît que c'est la fin de saison, je n'ai plus de "grrr" pour vouloir pousser lors des compétitions, mais quand même toujours 'willing' d'aller rouler avec des amis!

J'aime les congés fériés!

Une fin de semaine de 3 jours, c'est idéal pour s'entraîner, surtout que la canicule est terminée!

Je n'ai pas fait grand chose côté entraînement la semaine passée parce que je trouvais qu'il faisait vraiment trop chaud pour courir en tout cas!

J'étais donc vraiment contente samedi passé de pourvoir chausser mes nouveaux runnings pour bien les tester et savoir si je devrai acheter une deuxième paire toute suite.

Oui, je viens de les acheter et j'en veux déjà une deuxième paire?

C'est que les fabricants de chaussures de course changent de modèle à chaque année.

C'est le même nom, et oops, on rajoute un chiffre après la marque et nous voilà avec un nouveau modèle plus étroit, avec une couture devant le gros orteil, moins d'amortissement.

Alors, en tant que femme avertie, j'achète une deuxième paire aussitôt que j'ai 60 à 100km ou un mois d'utilisation assez intense.

Mes souliers m'ont dirigée sur le bord du Canal de Chambly (pour faire changement!), mais c'est un bel endroit pour courir et il y a toujours un bon petit vent.

J'ai couru jusqu'au pont que traverse la route 223 (un peu après le viaduc de l'autoroute 10). J'ai croisé quelques coureurs, dont un qui avait l'air très sérieux, et qui faisait des intervalles. Moi, j'étais dans le mood "la, la, la, je fais mon 'long run', j'écoute de la musique et je chante à tue-tête!!!

Vers le 10ème kilomètre, je me trouvais au parc près des chutes de Chambly et j'ai dû faire un arrêt WC. On se sent toujours mieux pour courir sans une p'tite envie!!!

Mon patelin étant envahie à cause du Festibière, j'ai dit à mes souliers de me traîner vers Richelieu.

13ème kilomètre, ma curiosité est attirée par un vélo appuyé contre un arbre près duquel il y a un sac rempli de cannettes de bières vides et j'essaie de voir plus bas, s'il y a quelqu'un sur la rive (juste pour être sûre qu'il n'y a pas un saoul mort sur le bord des berges)...

Je suis en équilibre sur un petit muret de pierre, je ne regarde pas où je vais et je me tords la cheville.

Arrggh! Ça fait mal! Je marche un peu et la douleur passe.

Je fais demi-tour et je jongle avec l'idée de revenir à la maison, mais, soudain, je pense à Sylvie qui avait écrit sur Facebook qu'elle allait courir 2h45 en préparation à son marathon. Alors, j'ai décidé de continuer!

J'ai donc couru 20km en 2h04. Woohooo: merci Sylvie!

Dimanche, gros moment pour bien des gens qui allaient courir leur premier marathon à Montréal.

Pour Geneviève, c'était un moment important.

J'ai aussi deux anciens collègues de travail qui allaient participer à leur première course.

Whowantstodust faisait le 10k et Pat K en était à son premier demi-marathon.

Pour l'occasion, j'avais décidé de porter mon "outfit" de cheerleader!

Photo: gracieuseté de Sylvie/mamanmarathon

J'ai beaucoup aimé encourager tous les coureurs en criant des "let's go", "keep it up", "good, looking good"(!), "allez, on continue", "souriez, ça fait moins mal", etc.

J'étais avec le groupe de supporters que Véronique avait réuni avec son club de triathlon, "Les Chickens". C'est une belle gang, très dynamique. En tout cas, les coureurs avaient automatiquement le sourire quand ils nous voyaient car, il y avait un "Chicken" déguisé en poulet!!!

En tout cas, aujourd'hui je n'ai plus de voix!

Un des moments forts de la course, c'est quand nous avons vu Geneviève! Allez lire le compte-rendu de son premier marathon ici. Geneviève est un modèle de persévérance.

Aujourd'hui, je suis allée en vélo avec deux amis.

Nous avons fait le "loop du Lac Champlain".

La première moitié a été difficile avec un vent de face ou de côté assez féroce.

Nous avons remonté vers le Nord par le côté du Vermont avec un vent de dos et des "stretchs" à une moyenne de 35kmh!

Quelques gouttes de pluie vers la fin, mais rien de désagréable.

Bref, un long week-end comme je les aime!

Les documentaires

Bon... Rapport? comme dirait les ados.

Ben, je suis une triathlète pas seulement centrée sur elle-même ou intéressée par le sport uniquement... durant la canicule, j'ai "slaqué" la course pour regarder la tivi!!!

Dernièrement, à la tivi de Radio-Canada, je suis tombée sur de très bons reportages ou documentaires.

Vous savez, ceux qui font réfléchir, qui donnent le goût d'approfondir nos connaissances, de chercher.

Le premier, duquel j'aimerais vous parler, est celui de la Tournée de l'OSM au Nunavik.

Il permet de découvrir la culture Innue à travers le partage de la musique en allant du classique, aux tambours et aux chants de gorge.

Ce documentaire m'a beaucoup plu car, j'ai étudié assez longtemps la musique pour savoir que la culture s'exprime beaucoup à travers les notes. Je m'intéresse aussi beaucoup à l'ethnographie et à l'anthropologie. J'ai des membres de ma famille très liés avec ce qu'on appelle le Grand Nord.

Bref, ce que j'ai trouvé drôle dans le documentaire, c'est de voir que les enfants inuits se bouchaient les oreilles quand un musicien a joué de la trompette. J'ai trouvé le fait très intéressant et je me suis fait la réflexion suivante: tiens, tiens, ils n'aiment pas ce son, c'est trop différents des sons qu'ils entendent ou c'est trop différent de la musique qu'ils connaissent.

Je me suis ensuite demandé... quels sont les sons qui peuplent la vie quotidienne d'Iqaluit par exemple? Quelle est la musique d'une ville du Nord?

Montréal a ses sons, sa musique... J'y ai habité assez longtemps pour reconnaître les clameurs de fins d'éliminatoires de hockey, le bruit des avions, des sirènes de police ou de pompier, les tamtams du dimanche au Mont-Royal.

La musique de Chambly: le tumulte des chutes, les encouragements pendant les parties de balle-molle qui proviennent pas loin du parc près de chez nous, les ti-clins à casquettes avec la palette à l'envers qui font "chirer" leurs pneus sur le boulevard Périgny et les nombreux sifflements de geais bleus, mésanges et cardinaux qui peuplent les arbres des alentours.

La musique de México D.F.: les hélicoptères qui survolent la ville à longueur de journée, la cloche qu'on sonne pour dire que le camion de vidanges va passer, la sirène qui avertit que le stand de "camotes" arrive, le "merengue" qui joue à tue-tête dans toutes les peseras.

Quelle est la musique d'une ville du Grand Nord, d'une ville du désert, d'un village de Mongolie?

Le deuxième documentaire est "La crise d'Oka" de l'émission "Tout le monde en parlait".

Ça m'a fait revivre mes années universitaires. À l'époque j'habitais dans St-Henri, je me souviens que je trouvais vraiment injuste que les Blancs veuillent envahir la pinède et je trouvais que les Warriors avaient raison de protéger leur territoire. J'aurais même été prête à cacher un Amérindien chez moi s'il avait fallu, un peu comme dans Missing ou Rojo Amanecer.

Bravo Sylvie pour le montage... même si je n'y connais rien! Va falloir que tu m'en expliques un peu les ficelles: qu'est-ce qui, dans le montage, donne le rythme, fait ressurgir des émotions?

Le troisième documentaire à Zone doc, "Terre d'accueil... 30 ans plus tard"

On faisait parler des jeunes orphelins étrangers qui ont été adoptés au Québec.

Ils font des réflexions sur leur identité, mais leur identité est complexe... a plusieurs facettes.

Sont-ils québécois ou chinois/haïtien/coréen/hondurien?

Sont-ils noirs ou blancs... ou jaunes?

Qui sont leurs vrais parents?

Quelle est leur identité psychologique, culturelle, familiale?

La question d'identité me touche beaucoup car j'ai vécu ce genre d'interrogation lorsque j'ai habité au Mexique. En effet, c'est à ce moment que je me suis demandé jusqu'à quel point le "Je" est le moi de l'individu mais n'est pas aussi une partie de sa culture, de son environnement?

Jusqu'à ce jour, ces questions, du moins de mon côté, sont restées sans réponse... mais je devrais peut-être y réfléchir encore durant ma préparation au marathon de Philadelphie???

Ah! J'aimerais être parfois comme ces grands intellectuels, j'aimerais bien être une Lévi-Strauss (pas les jeans!!!), une Jung... avoir un schéma de pensée qui révolutionnerait les générations futures (je peux toujours rêver!!!)

Ça me donne le goût de lire Les identités meurtrières d'Amin Maalouf, un intellectuel dont j'ai lu les romans surtout.

Hiiiiiiiiiiii! Je deviens bien trop "songée"; je vais retourner à la lecture d'un bon roman policier pour alléger mon esprit avec une trame narrative plus légère. (trame... toile... vous faites le lien avec mon choix de photo?)

Ah? Vous avez peur des araignées? Je vous laisse donc avec Monsieur et Clouzot qui "m'aident" à faire mon lit!