Le corps: 12 degrés celcius.
Les yeux: ciel bleu nuit illuminé de ses premières étoiles.
Les oreilles: chants grégoriens russes, le son des cloches dans les vespers chanté par le choeur du monastère de Chevetogne.
Le coeur: quiétude qui s'exprime à travers un sourire tranquille.
L'intellect: la poésie de Santa Teresa de Avila "Vivo sin vivir en mí"
Vivo sin vivir en mí,
y de tal manera espero,*
que muero porque no muero.
J'aurai souvenir de l'extase de ce 15km comme quoi, la course à pied peut devenir une expérience mystique!!!
4 commentaires:
Ah, les trips d'endorphines, c'est tellement plaisant quand ça nous arrive!
Pour le son, je suis plus granola: j'aime entendre ma respiration, le bruit de mes pas, le vent, et les voitures quand je cours dans la rue, question de sécurité...
@ Pepére: comme j'aime ton nom de bloggueur!!! Ouiiiii: les endorphines c'est super. Ça m'arrive souvent ces temps-ci car mes courses rallongent en temps et heu... en distance aussi. :-)
Hahaha, je n'aurais jamais cru voir le jour où quelqu'un me dirait qu'il/elle mon nom de blogueur!
D'autant plus que plusieurs personnes écrivent à tort -ô sacrilège- «Pépère». Mais où s'en va la société? ;-)
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